MÉTHODOLOGIE
Une méthodologie centrée sur le photographe stagiaire, considéré comme un être sensible, engagé et coopératif.
ENVIRONNEMENT
Assurer des conditions optimales d’apprentissage
Lieu atypique, spacieux et convivial : Le Garage Photographie, situé au pied du massif des Calanques, formidable terrain d’expérimentation
Animateur expérimenté, exigeant et bienveillant : William Guidarini, photographe professionnel et formateur en photographie depuis 10 ans.
Format de stage unique : journée de formation, en continu pour un nombre participants limité à 8 / stages
Contenu : 1/3 Technique – 1/3 Mise en pratique sur le terrain – 1/3 Analyse d’images en vidéo-projection
PARCOURS PÉDAGOGIQUE
Garantir la progression, sur la durée, avec différents contenus
1 stage technique indispensable pour balayer la technique photo et ouvrir son regard.
1 formule en cours individualisé pour approfondir certains points techniques à son rythme
1 bouquet de Masterclass pour développer son écriture photographique
TRAVAIL INDIVIDUALISÉ
Encourager le stagiaire à poursuivre son apprentissage
Mémo : un support de cours vous est envoyé dans les heures qui suivent le stage, pour vous permettre de reprendre les éléments développés au cours de la formation, et vous exercer.
MÉTHODE
Proposer une méthode d’apprentissage claire et cohérente, en mode Slow Photography !
Sensibilité et convivialité au centre du processus d’apprentissage
Construction du savoir-faire dans la coopération (avec les autres stagiaires, avec l’animateur)
Apprentissage technique au service de la construction d’un regard
S L O W P H O T O G R A P H Y
Pour une approche différente de la photographie.
Les appareils d’aujourd’hui ont des dispositifs remarquables d’automatisme. Il est facile de prendre des centaines de photos et l’apparition des réseaux sociaux a accéléré le flux d’images (2 milliards de photos sont partagées chaque jour sur Facebook, Instagram et FlickR). Mais quel est donc l’avantage de prendre autant de photos ? Et qu’est ce qu’on en fait après ?
Nos appareils sont tellement avancés que regarder ce que nous photographions est devenu strictement facultatif.
La victime de la photographie d’aujourd’hui (fast photography) n’est pas la qualité des photos elles-mêmes. Car dans le lot, il y en aura toujours quelques unes de réussies. La victime, c’est nous. Nous perdons quelque chose d’essentiel : la joie et le plaisir de faire des images !
La slow photography constitue un acte de résistance face à l’accélération du flux d’images et milite pour une (re)prise en main du processus photographique : considérer la photographie comme une expérience vraie et sensible, et non pas comme un moyen rapide d’arriver à une fin.